La demeure des Ataki

Pourquoi tout cela devait-il arriver maintenant ? Pourquoi là, et maintenant ? J'étais épuisée, debout devant deux personnes innocentes. Deux personnes qui avaient croisé ma route par pur hasard. Je n'étais pratiquement pas blessée, mais il y avait trop de sang. Ce liquide rougeâtre me dégoûtait et me fascinait à la fois. L'odeur ne me plaisait guère. Malgré tout, j'adorais voir tout se sang couler. Le sang des autres, pas le miens. Le mien me répugnait, pas celui de mes victimes. J'adorais les faire souffrir, et pourtant quand je n'étais pas possédé par un des 7 pêché capitaux, j'étais tellement mignonne et gentille. Je jetais un dernier regard méprisent à mes deux premières victimes de la journée avant de reprendre ma route vers un de mes lieux préféré. J'aimais être en hauteur, pas parce que j'était fanatique de la méditation et de la relaxation. Non. Je trouvais cet endroit paisible. Généralement, il n'y avait personne. Enfin, généralement. Car aujourd'hui était un jour spécial. L'inauguration de la nouvelle demeure du nouveau chef de clan des Ataki. Je venait d'arriver devant la grande demeure quand je m'en était souvenu. S'adossent à un rocher, j'observait. Encore heureuse que je ne sois pas née dans une aussi grande famille. Ma mère me suffisait amplement, et j'étais bien contente de ne pas avoir de petits frères ou de petites soeurs énervants. Soudain, le vertige me pris.

- Oh mon dieux !

Je me laissait glisser le long du rocher, poussant un gémissement de douleur. Une chance que j'avais quelques chose a quoi me retenir, sinon je me saurais écroulée. Franchement, je souhaitais qu'on ne m'ai pas entendu. Je mettait une main devant ma bouche, sentant que j'allais être sur le point de vomir. Les effets secondaires des 7 pêchés capitaux. J'étais toujours comme cela après ... Mes tatouages qui brillaient commençairent à redevenir noirs. Ils étaient beaucoup moins voyant comme cela. Essayant d'estomper la douleur, je fermais les yeux en me conçentrent. Ma spécialité, s'était le Eisei Nin. Je pouvais soigner bien des gens. Malheureusement, je ne soignais que ma mère et moi. Je gémissais encore, même si mon goût de vomir s'appaisait. À la place, un mal de tête se créa. J'en avait vraiment asser de tout cela. En se moment, j'aurais voulu mourrire.

Je respirais difficilement. La colère en moi commençait seulement a s'estomper. Je voyais flou autour de moi. Tout cela avait beaucoup affecter mon taux de chacra. Si quelqu'un me prenait pour un ennemi, je n'aurais surement pas pus me battre contre lui dans cet état là. Et puis, me guérir moi-même m'épuisait quand même beaucoup. Je tâchais de respirer du mieux que je le pouvais. Je repris mes esprits, la colère ayant quitter définitivement mon corps pour au moins une bonne heure. L'odeur du sang me donnais par-contre très envis de vomir. Quand je n'étais pas dans ma «trance», le sang me dégoûtait. Je gémissais de nouveau, remarquant que j'étais couvert de se liquide chaud et rougeâtre. Soudain, je sentais la présence de quelqu'un près de moi. Je levais la tête, me recroquevillant plus sur moi et en regardant mon potentiel ennemi. Il n'avait pas l'air trop méchant, seulement intrigué par moi. Il me demanda ensuite si j'allais bien.

- Je ... je ... je vais très bien ... Lui dis-je, d'un ton de voix qui voulais dire tout le contraîre.

Je baissais la tête, il s'approchait plus de moi. Il me pris la main et y déposa un baiser. Je relevais ma tête, les larmes avaient commancer a couler le long de mes joues.

- Je ... en fait, je vais pas bien du tout ...

Comme je me trouvais pitoyable en se moment. Pleurer comme une gamine devant un ninja.